L’Ifremer s’explique sur ses feux verts donnés à Shell et Total
Le 22 janvier, une quinzaine de représentants des pêcheurs et armateurs et du comité des pêche bloquait l’entrée de la préfecture en signe de protestation contre la tenue de la commission départementale des mines, laquelle commençait l’étude de huit demandes de permis de recherches d’hydrocarbures offshore, sans consultation préalable de la filière pêche aux-dires ses ses derniers. Les professionnels de la filière qui ne siègent pas à la commission s’opposent à toute activité minière en zone côtière (20 km des côtes) dans les années à venir, au motif que les campagnes d’exploration sismiques feront fuir les poissons. Le conseil général…
La suite de cet article est réservée aux abonné(es).
Rejoignez-nous et faites vivre l’information d’intérêt général et de qualité. Restez bien informés et accédez à nos informations, reportages, enquêtes et analyses, à lire nulle part ailleurs !
Lisez la suite pour 1€
Je m'abonneVous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté pour ajouter un commentaire.
2 commentaires
L’IFREMER donne le feu vert à l’exploitation de ce même pétrole, qui va augmenter le rejet de gaz à effet de serre et donc renforcer les impacts négatifs du changement climatique sur la Guyane..Et indirectement, il condamne une filière pêche qui est déjà impactée, tout ça pourquoi?!! Pour que le niveau des eaux augmentent toujours plus et que notre littoral soit encore plus atteint et érodé, que les pluies torrentielles soient encore plus fortes et que nos concitoyens soient encore plus victimes d’inondation, que les eaux de mer soient si dégradées que la reproduction des poissons s’en trouve affectée…? Merci l’IFREMER pour cette belle contribution, fallait pas…
L’article manque un peu de fond (sans jeu de mots) et d’objectivité. Ne pas oublier que la pêche est une activité des plus gourmande en … pétrole… plusieurs litres de gazole pour un kilo de poisson, et ça ce n’est pas durable non plu! Cet aspect n’est pas évoqué dommage.