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11 commentaires
Pétition contre les blocages (mais pas contre certaines revendications) : https://www.change.org/p/prefet-de-guyane-non-au-diktat-en-guyane
« les entrepreneurs se rendant à cette réunion devraient être autorisés à franchir les barrages. »
Devraient c’est bien le problème : A se demander s’il y a un commandant à bord du mouvement. On a l’impression que ça cogne sur le pont supérieur du navire.
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« Le collectif Pou Lagwiyann dekolé a appellé à un nouveau rassemblement ce vendredi après-midi devant la préfecture à Cayenne, sous réserve. »
Et c’est dans la même veine : Je prends le pari qu’ils vont arrêter les barrages en appelant à la traîtrise, histoire de faire bonne figure.
Il serait temps que l’Etat décollent les 500 praires contre la délinquance (mais pas en col blanc, fraternité oblige), déguisées en moules masquées, qui s’accrochent désespérément à ses Ferrero rochers ! Quoi ? On risquerait de découvrir dans le panier des fonctionnaires et autres agents de collectivités ou services publics, peut-être même du ministère de l’Intérieur ? Ah ! La fameuse cagoule ! Par crainte des représailles des délinquants ou de la hiérarchie ? Ou pour intimider les commerçants en toute impunité ? Alors, les praires : justiciers du peuple de Guyane ou bourreaux de son économie ?
Ouh ! Ouh ! Ouh !
La Guyane se suicide. On ne pouvait pas faire mieux pour y arriver.
trop violens, les 500 frères, M.GOUDET, COLLECTIF la guyane décollé, vous devez libéré le pays, continuer votre mouvement mais laisser le passage à ceux qui veulent travailler.
Pas grand monde devant la préfecture à la manif qui devait rassembler des milliards
(de gens)
J’ai rarement vu quéquette chanter devant aussi peu de monde…
Je n’ai pas de mots assez forts pour exprimer ma honte et ma colère !
Ma honte de voir une région entière prise en otage par une minorité qui bafoue nos libertés les plus élémentaires
Ma honte devant des médias qui sont d’un partie pris effarants où tout n’est vu que dans un angle celui de cette minorité
Honte de voir que rien n’est fait
Honte que nous en soyons réduits pour nous faire entendre d’utiliser les « commentaires » de ces mêmes médias ! De faire circuler des SMS de protestation et de devoir signer en ligne des pétitions en donnant nos noms !
Honte de voir toujours les mêmes nous expliquer devant les caméras complaisantes pourquoi ils chipotent sur 15 millions, de les entendre « exiger », « réclamer » leur « dû », « ce qu’on leur doit », les « compensations »
Au nom de quoi ? Au nom de qui ?pour en faire quoi ?
Honte de voir les mêmes expliquer à longueur de « reportage » que nous devons être « solidaires »
La solidarité est un choix né d’une conviction intime sinon on n’est pas d’accord c’est tout
C’est la démocratie !
Honte d’entendre les mêmes s’autoproclamer « soldats », les vraies soldats de la Guyane sont beaucoup plus modestes , ils cherchent à travailler , éduquer leurs enfants créer, faire évoluer la Guyane
Marre d’entendre les mêmes « haranguer » en créole, preuve s’il en est que L’on ne s’adresse pas à l’ensemble de la population preuve ultime de cette instrumentalisation
Marre de devoir m’estimer heureuse que l’eau ne soit pas coupée ni l’électricité
On ne doit pas non plus remercier, se répandre ne mercis !!!!
Honte et marre de voir toujours intervenir les mêmes toujours et souvent « fonctionnaires »
La question ultime est la suivante : la volonté finale n’est-elle pas qu’il y ait une « incident et si possible fatal pour pouvoir pointer du doigt et de façon plus violente l’Etat (avec un grand E celui qui paye) français (avec un petit f, mépris affiché) pour pouvoir aller encore plus loin ?
Un de mes fils vient d’avoir 18 ans il doit voter pour la première fois, il doit aussi passer son baccalauréat (oui l’épreuve du bac, le diplôme, utile pour vraiment aider la Guyane à décoller ! »
La démocratie avec un grand D mon fils est le contraire de ce que nous vivons ici et maintenant
Autre chose rendez-nous les médias une heure, qu’on donne un lieu une heure et on ouvre les barrages et ce ne sera pas 10 000 personnes qui seront là mais 50 000 les mécontents le « peuple » qui diront « on n’est pas d’accord rendez-nous notre liberté notre libre arbitre notre VIE ! »
et les parents d’élèves, ou sont-ils ??? ils préparent les vacances de pâques ???
L’épreuve de force est engagée. Les désaccords apparaissent mais la manipulation continue. Les provocations vont se succéder jusqu’à ce que les forces de l’ordre fassent un faux-pas. Les reste suivra avec la victimisation. Le scénario habituel de la basse politique ou de « la manipulation pour les nuls ». Le peuple paiera et les leaders seront récompensés…
On voit bien que le vent tourne, le débat TV d’hier soir a mis au grand jour les désaccords et les manipulations des 50 (faux) frères en relation avec les racistes de l’UTG.
Le seul but qu’ils poursuivent vraiment c’est de couler la Guyane pour tenter d’attirer les Guyanais vers l’aventure de l’indépendance.
Ils oublient que ce n’est pas ce que souhaite la population qui s’est déjà exprimée à ce sujet et qui ne manquerait pas de confirmer son précèdent choix.
Tout le monde s’est couché devant la milice : élus, Guyane 1ère (excepté les 2 journalistes qui organisent les débats) dont certains journalistes appellent même en direct les téléspectateurs à se rendre sur un barrage comme si c’était un concert !
500 personnes sans aucune légitimité devraient donc décider seules du sort de la Guyane !
Puisque, de fait, de moins en moins de personnes les suivent, c’est l’UTG EDF qui va prendre le relais pour bloquer l’activité !
En jurant qu’ils ne veulent pas de violence, ils ont tout de même aujourd’hui dépassé le stade de l’intimidation habituelle en agressant un commissaire qui serait coupable, selon eux, de ce qui lui arrive ! C’est comme le directeur d’EDF qui aurait agressé un gros bras d’EDF ! on rêve !
Guyanaises, Guyanais ne vous laissez pas prendre par leurs manœuvre ! Sé bon kè sa !
Enfin !!! la vrai Guyane qui veut avancer se réveille.
Depuis le début les « idéalistes » (???) ont été roulés par les 500 encagoulés qui avancent bien à l’abri de leurs cagoules et sont tellement sûrs d’eux qu’ils n’ont même pas eu le cran d’avancer à visage découvert de peur d’un magistral flop