Suivez la situation en direct sur notre live : déclarations, informations pratiques, photos, vidéos… la rédaction est mobilisée. La Guyane vit un mouvement social de grande ampleur porté par des socioprofessionnels, des salariés grévistes et différents collectifs de citoyens qui défendent «l’intérêt général du pays Guyane». Depuis dix jours des barrages sont en place dans les communes et le territoire est paralysé… Soyez acteurs de l’information et envoyez-nous vos contributions pratiques à redac [at] guyaweb [dot] com ou via Whatsapp 0694467073
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15 commentaires
attention cela sent mauvais, les collectifs sont désormais à la main des UTG – MDES qui nous resservent leur mauvaise tambouille avariée sur les changements de statut qui ont été tranchés en 2010 et qui ne font pas avancer les problèmes. On n’est pas là pour servir la soupe à nos élus locaux décrédibilisés et totalement incompétents. Il faut que les négociateurs des collectifs restent sur les revendications qui ont mis la population de Guyane dans la rue et notamment l’énergie, la santé et l’éducation qui restent en suspend.
Allo !!! les négociateurs !! alors on ne laisse pas la clique habituelle RIMANE, GOUDET (et la barbichette en embuscade) s’emparer des collectifs et détourner l’action des revendications légitimes !!! merci d’avance
Beaumont a parfaitement raison, ce mouvement, populaire et complètement légitime, est en train, une fois de plus, d’être récupéré par l’UTG. Il a réussi à imposer comme emblème de la Guyane son drapeau syndical, orné de l’anachronique étoile rouge communiste. Comme le MDES, ils sont ultra-minoritaires, comme le montrent les résultats aux élections, mais très opportunistes et très agités. Le référendum populaire a tranché la question du statut, ils doivent le respecter, s’ils sont de véritables démocrates…
Il est aussi grand temps que nos élus se fassent enfin entendre.
Soutien total au mouvement mais pas d’accord pour le changement de statut. S’il doit se faire ce sera par une consultation populaire et par un vote.
Elle est passée où la lutte contre l’insécurité ? J’ai soutenu les 500 mais aujourd’hui tout ça ressemble de plus en plus à une tentative de coup d’état de l’UTG avec barbichette. C’est triste et lamentable. Les masques tombent. Ne nous laissons plus embarquer dans une aventure que nous n’avons pas voulu. La CTG doit reprendre la main. N’allons pas à Kourou demain.
Pour achever de me convaincre de la tournure antidémocratique et antirépublicaine du mouvement, vu en fin de matinée à Cayenne : six individus cagoulés, portant les t-shirts du collectif des « 500 frères », ne luttant visiblement pas contre la délinquance routière puisque circulant en agglomération à vive allure sur trois boosters, certains ne portant pas de casque, faisaient la tournée des commerces ouverts pour leur intimer l’ordre de baisser le rideau. Ou comment une mobilisation populaire on ne peut plus légitime donne lieu et sert de caution à des pratiques autocratiques, quasiment mafieuses. Qui défendent et protègent les hommes en noir ? Quel combat mènent-ils réellement ? A la solde de qui sont-ils ? Que cherchent-ils ? Quel respect ont-ils des commerçants ? Sont-ils au-dessus des lois républicaines ? Ces dérives sont inquiétantes. Je ne vois pas en quoi elles servent la cause de la population et permettent de lutter contre la violence, ce qui était l’objectif originellement affiché du collectif. Elles me semblent, au contraire, liberticides et fondatrices d’un régime pré-dictatorial. Ces méthodes d’intimidation et d’injonction vont à l’encontre de l’esprit pacifique et des aspirations qui ont animé la mobilisation populaire et du principe sécuritaire que ce collectif prétend défendre. Restons plus que jamais vigilants, clairvoyants et sereins. Ne nous laissons pas manipuler, ni intimider.
Plus rien avant Juin…
Le gouvernement vient de donner sa décision à 12H30, c’est un refus.
Et comme il n’y aura plus personne pour négocier avant Juin, c’est mal barré…
Il est temps que les masques tombent et les cagoules avec sur les réelles intentions des leaders et instigateurs de ce mouvement et sur le véritable rôle que jouent les hommes en noir, visiblement plus occupés à enjoindre des commerçants à fermer boutique qu’à lutter contre les délinquants, à moins qu’ouvrir un commerce ne soit un délit selon la nouvelle loi promulguée par le gouvernement POU LAGWIYANN DEKALE.
encore une fois a qui profite le crime? je crois qu’au final c’est le « débrouillé a pa péché » qui prime ,tant du coté des élus que des corporatistes et opportunistes en tout genre…nous bon ke…. truc!
En passant, honte aux medias blada et FG qui refusent de publier les postes qui « dérangent » meme avec des extraits de leurs propres articles…
Odile doit regarder tout cela avec la larme a l’oeil ( fallait faire attention a qui vous vendiez Blada ) merci a Marion,Frederic Katia….
boycott de la manif de demain au CSG !!!
Je comprends mieux maintenant le port de la cagoule : ce n’est pas par crainte de représailles de la part des délinquants comme on a pu nous le faire croire, mais pour intimider en toute impunité les commerçants récalcitrants, assurer, sans crainte d’être reconnus, en jouant sur la peur et en montrant ses muscles, la garde rapprochée de leur leader et contraindre, par la menace, les élus à s’aligner sur les choix stratégiques et politiques de celui-ci. Quel tour de force, exécuté en détournant les aspirations de la population et en manipulant son exaspération ! Est-ce ainsi que l’on prétend la défendre, en changeant la terreur armée des braqueurs par la terreur masquée des hommes en noir ?
Au vu des pratiques et méthodes que je dénonce, les forces de l’ordre seraient bien inspirées de faire appliquer la LOI n° 2010-1192 du 11 octobre 2010 interdisant la dissimulation du visage dans l’espace public. Il en va de la sécurité des citoyens de ce territoire qui, n’en déplaise à certains agitateurs, demeure républicain.
A quand des sondages en Guyane ?
« Le collectif ne faisant pas preuve de la même « transparence » qu’il exigeait lors des discussions avec la délégation ministérielle, les médias ne sont pas autorisés à assister à l’intégralité de la réunion en cours avec les maires rejoints par les parlementaires, qui fait suite à une rencontre de travail ce lundi matin entre le collectif et les élus de la CTG. »
Jouer l’épreuve de force : refusez de sortir et filmer si ça part en vrille. Ils seront coincés. Ils vont faire pareil au CSG demain…
« l’entre gens » créolo nombriliste ….