Manifestation contre CEOG : trois personnes convoquées au tribunal judiciaire
A la suite de la manifestation extrêmement tendue, vendredi 10 mars, contre l’emplacement de la Centrale électrique de l’Ouest guyanais (CEOG), cinq personnes ont été interpellées et ont été placées en garde à vue. Trois d’entre elles ont été convoquées ce dimanche après-midi par le procureur, au tribunal judiciaire de Cayenne d’où elles sont sorties un peu avant 22 heures. Au cours de la manifestation de vendredi 10 mars contre l’emplacement de CEOG (voir Guyaweb du 11/03/2023), cinq personnes ont été interpellées et placées en garde à vue. Un habitant du village de 17 ans et une femme ont été…
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3 commentaires
C’est le monde à l’envers.
Ce sont les auteurs de ce projet climaticide qui devraient être devant un tribunal.
Il ne fait aucun doute qu’une fois la forêt détruite et les subventions détournées, ce projet, s’il aboutit, ne tiendra pas même quelques années.
Bayaan, il semble que vous n’ayez pas bien compris le code pénal. En droit français, ce sont les délinquants qui sont traduits devant les tribunaux, pas l’inverse. Et le fait d’être écolo ou Amérindien n’y change rien… même si les activistes écolos et amérindiens ont tendance à l’oublier et à se croire au dessus des lois.
Mais délinquants, parlons-en. Monter des projets bidons et climaticides pour s’attirer des subventions , ce n’est malheureusement pas encore illégal. Pourtant, un peu de bon sens le montre : c’est de la délinquance.
Par ailleurs, monter une usine Seveso à moins de deux kilomètres d’une agglomération, fut-elle habitée d’activistes écolo ou amérindiens, sans avertir clairement des risques, c’est illégal.
C’est ce que vous n’avez pas compris, « Maipouri »