Samedi 23 Novembre

L’interpellation musclée à son domicile du body-builder saint-laurentais Fabrice Magloire, suspecté de plusieurs délits, tourne à la « guérilla urbaine »

L’interpellation musclée à son domicile du body-builder saint-laurentais Fabrice Magloire, suspecté de plusieurs délits, tourne à la « guérilla urbaine »
Révélations !

Les faits initiaux remontent en fait au 13 août dernier alors qu’un véhicule est flashé par un radar mobile à 135 km/heure au PK 246 sur la route nationale proche de Saint-Laurent du Maroni à un endroit où la vitesse est limitée à 90 km/h Le véhicule refuse d’obtempérer, une course poursuite a lieu sur 2 km, les gendarmes motorisés prenant en chasse le véhicule assurent avoir vu le conducteur et le passager intervertir leur place avant l’interpellation. Fabrice Magloire soupçonné d’avoir été le conducteur en infraction, ce qu’il conteste, refuse alors de se soumettre à un contrôle de son…

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7 commentaires

  • Mickael
    14 septembre 2016

    Bonjour,

    On va résumer ce magnifique dossier : La loi c’est fait pour les autres.

    Puis bon, le coup du chien, faut arrêter d’abuser. Cela se fait aussi aux Antilles où l’esclavage a été (malheureusement) encore plus présent qu’en Guyane et personne ne s’en offusque.
    Çà laisse l’amère impression que tout est prétexte pour contester l’action publique : Il y a quand même plus de morts sur la route qu’a cause des braquages…

  • Gevila973
    14 septembre 2016

    Le Maire de la ville aurait mieux fait de rester discret et se faire oublier plutôt que de se plaindre du soi-disant comportement des Forces de l’Ordre auprès du Commandant de Gendarmerie.
    Il n’est pas le meilleur exemple en matière de Justice !

  • Loic
    15 septembre 2016

    J’adore : Révélations ! Mais cet article semble présenter la version des autorités. le journaliste a t-il contacté l’autre partie notamment la famille attaquée par le chien ? Autre question : le placement en garde à vue du 13 aout s’est il passé dans la violence ?

  • Alessandro de Sousa Alencar
    15 septembre 2016

    De toute façon, la société s’organise toujours sur la base d’une masse d’information dite propagande, d’un coté et de l’autre. Il est connu aussi que, du coté de la propagande institutionnel, il y a la légèreté (peut être principe de précaution?) de la presse au moment de traiter tel sujet. Un fait qui je ressentes assez fortement: La fracture social qu’il existe entre plusieurs secteurs de la société ici visible de manière criante. A la fois ethnique mais aussi beaucoup de fois institutionnel, en ce qui concerne le profil de recrutement des différentes institutions publiques qu’ont comme résultat, entre autres, ces forces de l’ordre importées d’ailleurs et sans aucun approche local citoyen humain. Dans cette intervention, ce commandement flou des forces de l’ordre a laissé voir son mépris pour la condition humaine des gens qui l’entourent mais qu’il ne sont pas concernés aux faits de délinquances attribués à ce monsieur.

  • 15 septembre 2016

    C’est vrai quoi, c’est un manque total de professionnalisme, le chien policier n’a pas été interviewé. Était-il en état de légitime défense avant de mordre ? Tout ça parce qu’une « terreur » bodybuildée de 43 ans refuse de se rendre à une convocation et menace de mort un gendarme…

  • Mickael
    15 septembre 2016

    Ah la bonne vieille stratégie du doute : L’instiller pour dire que comme tout le monde n’est pas d’accord, c’est que la vérité est au milieu.
    Les pneus, cela ne brûle pas tout seul…

  • le Jaguar
    16 septembre 2016

    « rapidement remis dehors dans un soucis d’apaisement », preuve que foutre le bordel est efficace pour écourter une garde à vue. Et après on s’offusque que les gendarmes interviennent avec des chiens.

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