Les agriculteurs de Saint-Georges s'organisent
C’est un tournant qui s’opère, plusieurs Amérindiens en particulier, qui avaient l’habitude d’entretenir un abattis par tradition mais aussi comme moyen de subsistance, ont décidé de s’investir et de travailler la terre pour le commerce. Celine Laporte, agent de développement à Saint-Georges le reconnaît tout de suite, « c’est un dossier difficile ». « Il n’y a pas vraiment d’agriculteurs professionnels installés ici », ajoute-elle. Le problème essentiel c’est le foncier. Il appartient à l’Etat et faute d’encadrement suffisant pour ces agriculteurs, les dossiers traînent. Le projet de l’association Wacapou porte sur plus d’une vingtaine d’hectares dont une dizaine est…
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1 commentaires
bien!