Enfin concernant le dernier point des poursuites, la présumée « suppression des moyens de travail », le tribunal relève que : « le reproche porte d’une part sur le véhicule de service (ou de fonction) et d’autre part sur le non-renouvellement des partenariats pour les ateliers ». Concernant « le véhicule », le tribunal souligne : « À l’audience, la partie civile ne reprenait pas ses affirmations initiales. Elle convenait que le reproche concernant le véhicule ne pouvait pas être intégré dans les éléments constitutifs d’un éventuel harcèlement. Elle indiquait qu’elle ne s’était pas appropriée le véhicule de service et elle confirmait qu’il n’y avait pas véhicule de fonction…