Les deux mineurs mis en examen et placés en détention ont considéré que « des femmes seules d’origine métropolitaine » étaient « des proies plus faciles » à Grand Santi, selon le procureur
Deux mineurs, tous deux nés à Saint-Laurent du Maroni, à la frontière du Suriname, l’un en 2002, l’autre en 2000, ont été mis en examen mercredi par le juge d’instruction saisi de ce dossier pour «vol avec arme, agression sexuelle, tentative de vol avec effraction en réunion », a-t-on appris ce jeudi par un communiqué sur Whatsapp du procureur de la République qui, joint par Guyaweb, a confirmé l’information. Des faits pénalement répréhensibles commis à l’encontre de deux enseignantes de Grand Santi, à leur domicile, à deux jours d’intervalle fin janvier, sont reprochés aux deux mis en examen, selon le communiqué…
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3 commentaires
Des proies plus faciles ??? C’est surtout que les mêmes faits commis sur une femme bushi-nengué auraient entrainé d’autres types de sanctions de la part de sa famille et surtout de la communauté. Une forme de racisme ? Après quelques jours, ils seront placés en famille d’accueil. Métropolitaine ?
Du racisme non, comme vous le dites si ces faits avaient été commis sur une femme bushinengué, il y aurait eu une autre justice avant celle de l’Etat, donc malheureusement oui ces femmes étaient des « proies plus faciles ».
Bonjour
Facile ou pas, pour ces forcenés de la braguette, La castration chimique devrait être immédiate.