Député en Centrafrique, jugé coupable de « corruption et favoritisme » dans l’affaire CCOG, Augustin To-Sah-Be-Nza en veut plus que les 60 000 euros déjà versés par la collectivité pour ses frais d’avocats !
Pour cette prise en charge des frais d’avocats de Léon Bertrand par la CCOG, le préfet de Guyane de l’époque, Eric Spitz, fera les gros yeux pendant quelques mois sans aller jusqu’au bout selon nos informations. Il fait turbiner le service juridique de la préfecture, demande l’avis de Paris et va jusqu’à adresser une lettre d’observations au président de la CCOG lui demandant de retirer cette délibération qui lui octroie la protection fonctionnelle, révèle ra Guyaweb à l’époque (voir cet article). Bertrand répondra au préfet par un roman de 30 pages de son avocat parisien. Le préfet arrête alors les…
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1 commentaires
FF, le préfet a un (ou une) secrétaire. Arrêtons de pinailler sur les fotes d’ortograf des employés en écriture. Si on avait l’esprit tordu comme tous ces voraces zozos pris la main dans le pot de confiture, on pourrait imaginer que les deux protagonistes se tiennent par la barbichette. Genre: « tu paies ma défense et je me tais, tu ne paies pas et je balance tout ».