Covid-19 : tout ce qu’il faut savoir sur les taux de soignants vaccinés en Guyane, les contrôles des non vaccinés, les libéraux visés par l’ARS et la phrase alambiquée du ministre…
Quels sont les taux de vaccinés sur la totalité de l’effectif et par catégorie de personnels dans les trois hôpitaux publics de Guyane ? Guyaweb dévoile les détails de ces taux : les médecins sont en quasi-totalité vaccinés à Cayenne et en totalité à Kourou selon leurs directions, pour d’autres types d’agents cela reste particulièrement bas. Le 16 septembre, pour sa part, l’ARS avait 226 libéraux non vaccinés dans le collimateur. Les contrôles sont et seront dans un premier temps pédagogiques mais effectués pour inciter à la vaccination. Dernier épisode : samedi, Sébastien Lecornu a indiqué qu’Olivier Véran, le ministre…
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4 commentaires
cela veut-il dire qu’au final l’UTG, Trop Violans et toutes autres grévistes…auront gagnés! Pas de pass sanitaire ni obligation vaccinale…juste une caution de transmettre le virus à volonté..
«médecins plus internes : 96.1 %, infirmiers : 52 %, aides-soignants : 40 % , agents des services hospitaliers (ASH : personnels qui s’occupent de l’entretien des locaux) : 23%»,
Ce qui veut dire que plus le niveau d’étude est élevé, plus les gens se vaccinent et inversement plus ils sont ignorants, moins ils se vaccinent…
Le plus difficile est de se maîtriser et contrôler ce qu’on dit et écrit. Cette crise vaccinale en Guyane est une telle agression à l’intelligence, à la raison, au savoir, à la science, au respect, à la santé, à la vie d’autrui, à la dignité humaine, à l’histoire, que seul le langage le plus ordurier et infamant conviendrait pour qualifier et apostropher les acteurs de ce génocide par crétinisme. Et comme le soulignent nombre de commentateurs la loi punit le mal infligé, la mise en danger et l’atteinte à la vie d’autrui. Mais le pire est l’infamie, l’ignominie, l’abjection étalées, vantées, mises en œuvre par une population majoritaire, ses élus, et ses commandos d’assassins sous une bannière jaune, verte et rouge désormais irrémédiablement souillée. Car en des temps pas si lointains nos ancêtres asservis, épuisés, sous-alimentés, malades, estropiés, mutilés, torturés, étaient laissés à l’abandon pour crever comme des bêtes, parce qu’un esclave mort coûtait moins au colon que le manque à gagner de son inactivité et les soins qu’on aurait pu lui apporter. Et aujourd’hui, dans cette Guyane de souffrances leurs prétendus descendants indignes et criminels refusent, rejettent, attaquent et détruisent un savoir scientifique et médical qui aurait été pour leurs ancêtres le salut et la vie. Honte historique et perpétuelle à ces traîtres et génocidaires de leur propre peuple.
@Rubinho
Je vous applaudis des mains et des pieds, dommage que je ne sois pas shiva.
Ils nous bassine avec des « protéger nos gangans » et ils les assassinent ! ! !
Les infirmières et infirmiers les premiers ; les chiffres sont là. Les sages-femmes en libérale qui suivent les femmes enceintes et lorsqu’il y a contamination et qu’on meurt à l’hôpital, c’est l’hôpital qui doit se justifier.