« Le principe de précaution vaut bien une rupture contractuelle »
La ministre de l’Environnement revoit sa décision d’une « remise à plat » du « permis de la société Shell en Guyane ». Suite au tollé provoqué chez certains par son annonce faite il y a quelques jours, Nicole Bricq a expliqué par communiqué qu’il « n’est pas envisagé de remettre en cause les permis déjà octroyés pour la recherche de pétrole et de gaz conventionnel. » Un recul que regrette par communiqué de presse transmis ce jour, l’association France Nature Environnement au motif qu’elle « interdit une réelle prise en compte des impacts environnementaux de certains projets, en particulier celui porté par la société Shell au…
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c’est bien la preuve qu’une multinationale est plus forte que l’Etat !!!