Des braconniers surpris avec 45 animaux dans les congélateurs
« Un acte de braconnage particulièrement marquant a été déjoué [le 11 novembre à Petit-Saut] lors d’une opération de police du service mixte de l’environnement » communique l’Office national de la chasse et de la faune sauvage. « Alors qu’ils patrouillaient sur le barrage, les agents découvert trois congélateurs et glacières dissimulant un tableau de chasse conséquent : 10 Singes Hurleurs, 17 Agamis, 2 Singes Capucins, 1 Pakira, 1 Biche, 1 Cariacou, 3 Toucans, 2 Tinamous, 1 Pac, 1 Hocco, 3 Marails, 2 Tortues Denticulées et 1 Ara Chloroptère (espèce intégralement protégée) ». « L’embarcation, le moteur et les fusils…
La suite de cet article est réservée aux abonné(es).
Rejoignez-nous et faites vivre l’information d’intérêt général et de qualité. Restez bien informés et accédez à nos informations, reportages, enquêtes et analyses, à lire nulle part ailleurs !
Lisez la suite pour 1€
Je m'abonneVous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté pour ajouter un commentaire.
10 commentaires
Bravo, mais n’oublions pas que ce trophée représente ce qui se passe TOUS LES JOURS sur ce beau lac EDF. Sauf que les autres jours, PERSONNE n’est là. Moi je n’y vais plus, trop dégoûté.
Bravo. Il faut continuer les patrouilles. Je serais même prêt à payer pour les financer !
des ASSASSINS
j’ai envie de VOMIR
Bien joué l’ONC, il faut continuer. Ces types doivent payer cher et aller en prison. Nous voulons maintenir une chasse raisonnée, responsable, traditionnelle et respectueuse de l’environnement. Pas comme ces gens qui massacrent et font des excès. NON aux abus et au commerce du gibier. Voilà une belle opération. Et encore bravo à l’ONC qui avait été purement lynché en public il y a quelques mois aux palmistes par la plupart des politiques, par leur hiérarchie et par la justice alors que leur intervention était 100 % justifiée et totalement dans la défense de notre patrimoine naturel ET culturel. On espère que les médias feront un jour la lumière sur cette sale affaire politique et judiciaire.
C’est bizarre : c’est arrivé le 11 novembre et la populasse est informé que le 21 novembre. Il a fallu 10 jours pour rédiger un communiqué ?
Remarque, il a bien fallu attendre 20ans de braconage avant de réagir.
Une question se pose : si l’arrêté n’est entré en vigueur que le 21 novembre, comment ces braconniers ont pu se faire saisir leur pirogue et avoir une amende de 750 euros ? L’arrêté a-t-il des alinéas faisant état de rétroactivité ?
Ils ont dépassés les quotas + ces espèces étaient certainement destinées au commerce alors qu’elles sont justement interdites au commerce + une espèce protégée tuée. Cela fait trois infractions/délits graves, quel que soit l’endroit où ils se produisent en Guyane.
A johann:
Comme le dit Steven, il existe bel et bien des quotas en Guyane pour la chasse (mais qui sont malheureusement peu connus).
Et en effet, le fait qu’il y ai en plus une espèce protégée permet la saisie du matériel et des gibiers par l’ONCFS.
bravo aux agents de l ONCFS ! Continuez, mais restez vigilants (rappelez-vous ce pauvre Marcel violemment agresse par un pilleur d oeufs de tortues). Il faudrait arriver a eradiquer ces comportements barbares sur et aux alentours de la retenue de Petit-Saut.
Oui, Bravo, il faut empêcher ces quelques centaines d’individus qui empêchent la population de Guyane de voir des animaux et de manger un gibier de temps en temps entre amis ou en famille en forêt.