Le tribunal juge que la CCOG est revenue trop tard sur sa décision de payer de nouveaux frais d’avocat de son ex-directeur général coupable de «favoritisme et corruption » dans un scandale de pots de vin…
C’est cette décision du 16 décembre 2015 du conseil communautaire qu’Augustin To-Sah-Be-Nza a donc contesté d’abord par une requête enregistrée le 9 février 2016 par le tribunal administratif de Cayenne via son avocat parisien Me Didier Liger qui l’a défendu au pénal au cours des procès de 1ère instance et d’appel à Fort de France mais aussi lors du second procès d’appel simplement chargé de se pencher sur la peine à infliger, le 17 janvier 2017, à Basse-Terre. Un défenseur, dès lors intéressé au premier chef par cette action devant la justice administrative, puisque l’enjeu pécuniaire de ce dossier se…
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