Le tribunal juge que la CCOG est revenue trop tard sur sa décision de payer de nouveaux frais d’avocat de son ex-directeur général coupable de «favoritisme et corruption » dans un scandale de pots de vin…
Quelques jours après la rentrée de septembre, le préfet de Guyane de l’époque, le flegmatique et distingué Eric Spitz, se réveille. Le 7 septembre 2015, estimant irrégulier l’octroi de la protection fonctionnelle à un agent de la CCOG jugé coupable de «corruption et favoritisme », à l’époque en 1ère instance et en appel, il rédige un courrier au président de la CCOG, Léon Bertrand. Ces faits pour lesquels il a été condamné (…) présentent une gravité particulière et relèvent d’un manquement volontaire et inexcusable à des obligations d’ordre professionnel et déontologique (Le préfet Eric Spitz, 7 septembre 2015) Dans son…
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