La préfecture à l’Ouest : elle n’a finalement pas contesté la délib’ de la mairie de Saint-Laurent protégeant financièrement Léon Bertrand dans l’affaire … de la Senog
Et voilà donc un nouveau rebondissement dans cette quasi-saga des « protections fonctionnelles » accordées à Léon Bertrand par les collectivités. La délibération du 26 mai dernier relative à la prise en charge, sur les deniers municipaux de Saint-Laurent du Maroni, des frais d’avocat de l’intéressé dans l’affaire de la Senog (1) et ce au mépris des jurisprudences administratives révélées par Guyaweb et inhérentes au principe de séparation des entités juridiques (la Senog, société anonyme n’est pas la mairie de Saint-Laurent) ne pourra pas être contestée par le préfet de Guyane. Et pour cause ! Le délai de deux mois pour contester,…
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6 commentaires
C’est consternant de voir comment les affaires sont traitées avec deux poids deux mesures . C’est décourageant qui plus est ! Tirons en les conséquences et laissons libre court à la ………. malhonnêteté
En bonne parisienne, la ministre de la justice se démène beaucoup plus pour mettre sur écoute les opposants et les poursuivre pour les prétextes les plus farfelus, plutôt que de dépenser son temps pour des DOM qu’elle n’est capable de situer qu’au delà du périphérique, sans plus de précisions. Et puis, sait-on jamais, LB a peut-être des choses à révéler sur le Walwari…
Non mais faut arrêtez. A chaque fois qu’une affaire pas claire sort du boisseau en Guyane, célafôtataubira ! Là, tu as des collectivités pas du tout regardantes sur la manière d’utiliser les fonds publics (on peut même parler d’irrégularité) et le contrôle de légalité ou sa hiérarchie qui dort
Bravo à Léon, qui ne doit sa brillante carrière qu’à la complicité active des autorités de la République des droits de l’homme ! Encore un exemple accablant.
L’élève a dépassé le maitre. Si le maitre joue actuellement au « gateux’
pour éviter d’être lui même poursuivit, l’élève devrait méditer sur cette éventualité.
Que tous les hommes de pouvoir sachent que lorsque l’argent se raréfie, les instances judiciaires ne sauraient leur faire de ‘cadeaux’.
Je ne comprends rien à tes allusions Salomé