Les quatre surveillants de la prison de Rémire qui comparaitront devant le tribunal pour « injure publique en raison de l’origine» à l’encontre du directeur, ne se verront pas reprocher l’infraction de «dénonciation calomnieuse»
La Chambre de l’instruction a débouté, selon son délibéré rendu le mardi 24 janvier dernier, Jean-Philippe Mayol, directeur de la prison de Rémire-Montjoly à l’époque des faits allégués, de son appel contre le non-lieu partiel rendu le 28 novembre dernier par la juge Madeleine Pfender en faveur des quatre surveillants de l’établissement pénitentiaire qui avaient fait l’objet d’une plainte de l’intéressé pour «dénonciation calomnieuse». La juge avait considéré dans son ordonnance de renvoi que les faits dénoncés en 2015 par les 4 surveillants, en particulier en matière de dépistage de la tuberculose au centre pénitentiaire, n’étaient «pas manifestement faux» et décidé d’un non-lieu partiel sur le sujet….
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