Affaire préfecture : selon une synthèse du parquet, l’ex-chef du bureau de l’immigration aurait admis avoir sollicité de l’argent et des faveurs sexuelles, un présumé corrupteur dit avoir été l’amant d’une fonctionnaire mise en examen
Au préalable, les premières mesures de garde à vue auront été mises en oeuvre, dans le cadre de cette instruction, le lundi 19 juin 2017. Ce jour là, 9 personnes sont placées en garde à vue dont 4 agents de la préfecture en l’occurrence trois fonctionnaires de sexe féminin. Le même jour, le 19 juin 2017, le préfet Martin Jaeger, via son service de communication, se fend d’un communiqué de presse vantant son rôle prépondérant dans le déclenchement de l’affaire : «Dans les semaines qui ont suivi son arrivée, Monsieur Martin Jaeger, préfet de la région Guyane, a signalé au titre…
La suite de cet article est réservée aux abonné(es).
Rejoignez-nous et faites vivre l’information d’intérêt général et de qualité. Restez bien informés et accédez à nos informations, reportages, enquêtes et analyses, à lire nulle part ailleurs !
Lisez la suite pour 1€
Je m'abonneVous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté pour ajouter un commentaire.
1 commentaires
Tout y est: cupidité, mensonges, passe droits, copinage, corruption,sexe, orpaillage, exploitation de la misère humaine sur fond glauque et minable: comment voulez vous que la Guyane décolle ?