2 tapouilles et 1 braconnier, pincés
Les forces armées en Guyane et les agents du service mixte de police de l’environnement ont conduit une opération de lutte contre la pêche illégale dans l’ouest du département du 23 au 26 février, communiquent les autorités. Pendant ces quatre jours, deux tapouilles surinamiennes ont été déroutées, 13,5 kilomètres de filets ont été confisqués, 785 kilos de poisson jetés par dessus-bord. Les embarcations françaises ont également été approchées par les forces de l’ordre : « le capitaine d’une embarcation française, a été verbalisé pour non identification de son filet de pêche ». En parallèle de l’opération en mer, les agents du service de…
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2 commentaires
13.5 km de filet, peut on imaginer le massacre que peuvent causer ces filets. Ils ont pillé voire exterminé leur ressources chez eux et viennent maintenant piller les nôtres. C’est scandaleux, peut on accepter cela. Nous devons encourager les actions menées par les forces de l’ordre avec tous les risques qu’ils prennent pour protèger notre environnement. Arrivera-t-on à erradiquer ces fléauts orchestrés par nos voisins qui ne respectent rien, ni notre Pays, ni le leur, ni notre Planête. Ils ne comprennent pas, quand ils agissent ainsi, ils détruisent la Terre et qu’ils ne laissent rein pour nos enfants, ni les leurs. Bravo et merci aux forces armées maritines, aériennes et terrestres (FAG) et de gendarmerie qui contribuent à sauver la Planête, souvent dans l’indifference de tous les guyanais voire sans leur soutient. Peuple vivant en Guyane, réveillez-vous.
Merci à M. Farine pour nous rappeler ce qui se passe chez nous.
Et je suppose que les tapouilles retournent au Suriname. Pourquoi ne les coule t-on pas au large ? Sans les marins bien-sûr… (je précise au cas où)…