La joie ne revient pas toujours après la pelle : ce que dit l’arrêt de la Cour qui condamne lourdement Rexma et Rexea…
Pour se prononcer sur la rupture du protocole d’accord entre Casas et Petit, voulue par le dernier nommé, la Cour d’appel a « considéré que seuls doivent être pris en considération ces (deux) motifs énoncés dans la lettre de rupture ». Autrement dit, la fourniture par Rexea fin 2010 d’un tracteur sur chenille présenté comme neuf alors qu’il avait déjà été utilisé puis une tentative similaire fin 2011 avec un bulldozer. Concernant la première histoire, celle du tracteur à chenille, il faut savoir que l’engin avait été facturé à la société Aténor dont le gérant n’était autre qu’Antoine Léveillé, ancien président de la Fédération…
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