Les acteurs économiques et institutionnels sur le pont
» L’ouverture du pont » devrait intervenir « dans les prochains mois« . C’est parce que des « signes avant-coureurs » de l’ouverture de l’ouvrage d’art qui enjambe l’Oyapock se multiplient côté brésilien que le préfet Eric Spitz réunissait ce jeudi à Cayenne des représentants du monde économique. Une réunion pour trouver des solutions aux derniers points « très techniques » sur le transport et l’assurance. Le 19 mars 2014, les ministres des Affaires étrangères Laurent Fabius et son homologue Luiz Alberto Figueiredo co-signaient un accord règlementant le transport des personnes et des marchandises. Malgré tout, à ce jour, « nous avons un certain nombre de questions en…
La suite de cet article est réservée aux abonné(es).
Rejoignez-nous et faites vivre l’information d’intérêt général et de qualité. Restez bien informés et accédez à nos informations, reportages, enquêtes et analyses, à lire nulle part ailleurs !
Lisez la suite pour 1€
Je m'abonneVous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté pour ajouter un commentaire.
8 commentaires
Quel folklore ! Dites, il y a combien de mois dans une année ? Ce pont finira par tomber avant d’avoir servi… Et puis, des zones de rupture de charge, c’est vraiment une drôle d’idée qui découle tout droit d’un amas de tracasseries et de normes administratives. Le but d’un pont n’est-il pas d’éviter les ruptures de charge ? Sinon, il sert à quoi ?
Certains en Guyane sous estime la puissance du Brésil qui fait 8 511 965 km² avec une population de 198 millions d’habitants et la Guyane française qui ne fait que 83 534 km ²avec à peine 250 000 habitants. Il faut trouver le moyen d’avoir des accords commerciaux gagnant gagnant avec nos voisins brésiliens et surinamais. il faudrait oublier l’arrogance française et mieux comprendre ce qui peut tirer notre économie vers le haut dans cette région.
Oui parlons de l’arrogance française . Que dire surtout des barrières douanières brésiliennes, des produits ou du savoir faire guyanais pouvant intéresser les brésiliens ( industriels, artisanaux ???? ) , des moyens de transports entre les deux pays , du coût Guyane et du coût Brésil , des réglementations et des complexités douanières . Quelques barrières non ? Donc selon moi imaginer un flux commercial y a du boulot avant cela . Et avec quels états ?
Vous pouvez préciser : « savoir faire guyanais « …
Justement on cherche ! mais bon c’est valable dans l’autre sens je crois . A part les matières premières . En ce qui concerne l’agro alimentaire c’est compliqué parce que cela devrait passer par des Usines aux normes qu’il n’y a pas dans le Nord et Nordeste je crois .
encore une blague ce pont aurait du être praticable depuis bien longtemps.
Le Brésil (pas une surprise) et la France) sont deux pays immatures.
Au moins, ça fera un nouveau spot pour la pêche à la ligne
Comme d’habitude, on ne pense pas aux citoyens, aux familles et aux prestataires de services, artisans…
Le dialogue est réservé aux fonctionnaires et divers administrations qui sont payé une fortune pour mettre 6 mois a changer une virgule
C’est pas gagné