La gestion du risque phytosanitaire en friche
Le régal est audible et les appétits bavards lorsque les canines croquent dans une tranche d’ananas du marché. Sous cette réjouissance gustative, les papilles se rappellent parfois d’une saveur plus acide, d’une situation sanitaire ambiguë où des maraîchers du département, embarqués dans la culture sous produits phytosanitaires, naviguent hasardeusement sans un encadrement digne de l’année 2014. Il est désormais officiellement acté que liquides et croquettes chimiques utilisés dans l’agriculture conventionnelle font courir un risque avéré à ceux qui les manipulent et ceux qui en ingèrent les résidus. « Une expertise collective de l’Inserm publiée en 2013 montre une présomption forte…
La suite de cet article est réservée aux abonné(es).
Rejoignez-nous et faites vivre l’information d’intérêt général et de qualité. Restez bien informés et accédez à nos informations, reportages, enquêtes et analyses, à lire nulle part ailleurs !
Lisez la suite pour 1€
Je m'abonneVous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté pour ajouter un commentaire.
1 commentaires
Vous citez l’ARS dans les organismes intéressés par ce sujet. Pour ne citer que cet organisme, croyez-vous vraiment à son efficacité quand on voit la cécité et la surdité qui l’atteint concernant son action en face de signalements fait concernant le milieu de la santé et qui à ce jour n’ont toujours pas été pris en compte .Pourtant la vie de ces personnels est mis en grave danger. Ne comptez donc pas sur l’ARS pour faire une action concrète, c’est sa santé et sa fin de carrière que vous mettriez en danger…. Tous aux abris…