Le non-cumul des mandats interdit à un maire ou à un président d’intercommunalité d’être élu président de la future collectivité territoriale (CTG). Plusieurs scénarios se dessinent alors pour les maires qui souhaiteront siéger dans la première assemblée française de ce type, née de la fusion du Conseil régional et du Conseil général. Les plus joueurs délaisseront leur fauteuil local pour l’éventualité du potentat suprême. Il n’est cependant pas certain que la majorité des maires sera intéressée de lâcher la tête de son conseil municipal. Le cumul autorisé est bien plus appétissant. A ce titre, les édiles pourront tenter d’ajouter à leur poste…