Pollution au mercure : comment mettre l’État face à ses responsabilités ?
Depuis la connaissance de la pollution au mercure et de la sur-imprégnation des habitants du Haut-Maroni dans les années 1990, deux tentatives judiciaires pour placer l’État face à ses responsabilités ont été lancées. La première en 2001 au pénal s’était soldée par un échec. On attend le verdict de la deuxième tentative, menée cette fois par la voie de la justice administrative. Il devrait être connu dans moins de deux semaines (Guyaweb du 05/11/2015). En Guyane, la pollution au mercure due aux activités d’orpaillage est connue depuis les années 1990. Ce serait en faisant l’étude d’impact environnemental pour le barrage…
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1 commentaires
Et si on plaçait le camp du bien (écolos, Cimade, presse bien-pensante et consorts) face à ses responsabilité ?
Après tout, c’est lui qui encourage l’orpaillage illégale au mercure en pratiquant le harcèlement judiciaire des tous les projets légaux sans mercure. Lui aussi qui encourage l’immigration illégale en attaquant toutes les procédures d’éloignement des garimpeiros. Encore lui qui en imposant le laxisme judiciaire qui incite au pillage de nos ressources et à la violence sur les placers.
Hélas, pour le camp du bien, il est plus facile de pleurer « célafotaléta ! » que d’assumer sa propre responsabilité…