15M€ de remise de dette pour la CCIG
Empêtrée dans des problèmes de trésorerie et de dettes, la Chambre de commerce et d’industrie devrait se voir consentir une remise de 15 M€ a annoncé le préfet devant la presse, interrogé sur l’état des finances de la Chambre consulaire. « Nous sommes prêts à faire une remise de 15 M€. L’objectif est de faire une Chambre qui fonctionne à l’équilibre sans port et sans aéroport ». « La dette inter-services » est en revanche une toute autre histoire. Elle s’élève à « 26 M€ ». « La Chambre a commencé à verser 2,5 M€, nous ne transigerons pas »…
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6 commentaires
quant on sait ce que ça coute aux entreprises (taxe) et le service qui en résulte, ça laisse songeur voir amer…
Ah, Le pelletier et sa gestion, tout un poème…
Un roman plutôt non ?la gestion de la Chambre mais n’esce pas lui qui la gère depuis quelques années ? et après avoir, si j’ai bien compris, été le Président qui a participé à creusé le trou il va redresser ? allons soyons sérieux !
« Dettes inter-services » ?? Quèsaco encore ce truc ? pour mieux plumer les finances locales assurément, avec « colloques » et voyage en business pour les têtes – (on ne met pas les torchons avec les serviettes), mais ne pourraient-ils pas ces soi-disant grosses têtes bien pensantes, mélangées leur serviettes avec celles des classes affaires, ce qui déjà allègeraient les dettes inter-services …. Et puis peut-être aussi revoir à la baisse les formations diverses et variées des sous-fifres, qui sont bien souvent une bonne occasion de rendre visite à l’entourage de la métropole. Et EN PLUS SUCRER TOUS LES MILES de ces voyageurs pour que ceux-ci (les miles) servent à participer à l’achat de ces billets. Il n’y a pas de petites économies, il n’y a que des grosses pertes….
Monsieur Lepelletier n’est peut être pas disons le bon Président ; ça va comme cela ?? ( je ne peux quand même pas dire qu’il est un mauvais gestionnaire ?)
L’absence de réactions de la part des élus et des candidats aux prochaines échéances est tout à fait étonnante voire scandaleuse, car elle démontre le peu d’intérêt que les idylles guyanais ont pour les contribuables qui sont ainsi sollicités pour régler les conséquences d’une gestion plutôt contestable. La décision du préfet (même si – portons cela à son crédit- telle n’est pas son intention) donne le sentiment désagréable que l’État offre son blanc-seing à des décideurs qui ne semblent pas être à la hauteur des enjeux auxquels on les a si complaisamment assignés.
Le préfet n’aurait-il pas dû, tout simplement, mettre la CCIG sous tutelle ?
Doit-on rappeler qu’à longueur de discours les politiques nous rabâchent que nous sommes en crise. Les contribuables-citoyens n’ont-ils donc rien d’autre à faire que de résoudre les problèmes créés par des décideurs controversés ?
Ainsi, comment peut-on demander aux Guyanais de voter et de s’impliquer quand ils se voient taxer sur le champs s’ils ont le moindre retard en terme fiscal ou s’ils ont du mal à s’acquitter de leurs factures alors que dans le même temps on avalise une gestion créatrice de dettes et non de richesses au dépend du bien public ?!
@DiogenedArc