Le FRAC : révélateur de maux guyanais ?
Isolement, crispations identitaires, poids du financement institutionnel… La naissance du FRAC, Fonds Régional d’Art Contemporain, de Guyane met en lumière des problématiques guyanaises qui sont loin d’être propres à l’art contemporain, alors que la mission d’évaluation du critique d’art Simon Njami vient clôre une première phase d’acquisition d’oeuvres artistiques. Un frac-quoi ? Créés en 1982 sous l’impulsion du Ministre de la Culture Jack Lang, les FRAC sont des collections publiques d’art contemporain. Présents dans toutes les régions métropolitaines, il n’en existe actuellement qu’un seul dans les Outre-mer, à la Réunion. En Guyane, le FRAC s’inscrira dans la Maison des Cultures et des Mémoires,…
La suite de cet article est réservée aux abonné(es).
Rejoignez-nous et faites vivre l’information d’intérêt général et de qualité. Restez bien informés et accédez à nos informations, reportages, enquêtes et analyses, à lire nulle part ailleurs !
Lisez la suite pour 1€
Je m'abonneVous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté pour ajouter un commentaire.
2 commentaires
L’art n’ a pas de frontières aujourd’hui. Promouvoir l’ art Guyanais passera forcement une prise en compte d’autres réalités qui dépassent largement les frontières.
Bonjour
Haïti à réussi à vendre de l’art , pourquoi pas pas nous ?
Un investissement minimum dans de la peinture et des toile faisables sur place avec du bois lokal ou du contreplaqué surinamais pas cher .
Attention au décollage !
De plus on a un réservoir de population haïtienne où trouver des compétences à adapter .
Reste juste à trouver les bobos qui voudront bien acheter les croutes .
Tout ce vend même ……..
Salutations