Orpaillage clandestin, trafic de stupéfiants, prisonniers étrangers : où en est l’application du volet sécurité de l’accord de Guyane ?
Rue Oudinot, à Paris, la semaine dernière, la ministre des Outre-mer se félicite, avec prudence, des avancées de l’accord de Guyane. « Sur le plan d’urgence, 80 % des mesures sont réalisées », a indiqué Annick Girardin. Parmi celles-ci, huit concernent plus précisément le domaine de la sécurité. C’était une des principales revendications des Guyanais en avril 2017, portées notamment par le collectif des 500 frères contre la délinquance. Un an après, Guyaweb décrypte les avancées et les freins à la mise en place des mesures. La stratégie de la transparence Le ministère des Outre-mer veut montrer que les engagements…
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2 commentaires
Surprenant qu’on demande l’avis du détenu sur le fait qu’il aille purger sa peine dans son pays.
Si cette pratique était systématique, peut être qu’ils ( les voyous) réfléchiraient à 2 fois avant de commettre leurs méfaits !!!
Oui surprenant de demander (et d’obéir) à la volonté du prisonnier de « rentrer au pays » pour purger sa peine. Ça devrait être automatique ! Que chaque pays gère sss délinquants. En l’occurrence je regrette que mes impôts servent à payer l’hebergement de ces individus. Et regretter est un faible mot !!!!