« Je n’ai jamais perdu ma souveraineté sur mes terres » (Alexis Tiouka)
Alors que le collectif des autochtones a clairement exigé sa séparation du collectif Pou nou dékolé Lagwiyann lors des discussions du comité de suivi des Accords de Guyane du 21 avril et des accords signés entre les différentes branches dans la nuit du 2 au 3 avril, Alexis Tiouka, juriste en droit international, revient sur les revendications autochtones – notamment foncière – et la possibilité de garder l’union entre Guyanais contre un Etat qui divise pour mieux régner. Guyaweb : Après la solidarité du début du mouvement social, la question foncière a divisé les peuples autochtones et le collectif Pou…
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3 commentaires
de très belles et intéressantes paroles – j’ai beaucoup appris ici, et grands mercis !
Une interview intéressante effectivement mais des propos auto-centrés d’un autre âge parce que si les références au monde d’avant sont légions, les visions d’avenir sont étriquées, absentes de générosité sous le prétexte d’être né quelque part.
Le repli identitaire s’infiltre partout.
Je n’ai pas compris en quoi les initiatives économiques proposées par ce monsieur ne peuvent pas se réalise en l’état du droit. D’où l’état interdit-il la construction d’une base nautique par exemple ?